Colette découvre son nouveau quartier et aimerait se faire des amis. Mais lorsqu’elle croise un enfant de son âge, elle ne sait pas quoi dire… alors, sur un coup de tête, elle invente l’histoire d’un animal perdu ! Très vite, tout le voisinage se lance à sa recherche, et au fil des récits, son oiseau devient de plus en plus extraordinaire. Les autres enfants finiront-ils par percer à jour son imagination débordante ?
« C’est avec un bonheur lumineux que l’on découvre cet album tout de jaune vêtu. La jolie Colette, fraîchement déménagée, rage de ne pas pouvoir avoir un animal de compagnie. Discrets mais curieux, les enfants qui l’observent ont vite fait de s’approcher. Et voilà Colette qui raconte une aventure rocambolesque avec sa perruche qu’elle aurait perdue. Les enfants, émerveillés, se laissent prendre au jeu et s’invitent dans cette joyeuse aventure. Isabelle Arsenault, avec un talent renouvelé, présente un charmant album qui invite à l’imagination et à la fantaisie. C’est chaleureux, mignon et amusant ! »
« [...] Isabelle Arsenault (illustratrice des magnifiques Jane, le renard et moi et Louis parmi les spectres) signe une histoire simple, belle, tendre et jamais mièvre qui correspond pleinement à la richesse de son dessin. L’oiseau de Colette inaugure une série consacrée à La bande du Mile-End, soit des enfants vivant dans ce quartier de Montréal. C’est peu de dire que nous avons hâte de lire les albums à venir ! »
« [...] Comme toujours, les illustrations d’Isabelle Arsenault sont magnifiques, tout en douceur, en naïveté et en volupté. Cette artiste a réellement un style bien à elle et un amour pour les couleurs pastel et douces qui se marient à merveille avec son trait de crayon. Les couleurs pastel telles que le jaune et le turquoise me rappelaient Louis parmi les spectres, qui était aussi incroyablement ravissant. Ce premier tome est splendide, j’ai beaucoup aimé le fait que l’histoire est totalement inspirée de l’imagination de la chère Colette. [...] J’ai aimé que la place du jeu, du rêve, de la rêverie et de l’imagination soit primordiale dans cet album pour enfants. Il n’y a rien de moralisateur dans ce livre jaune et cela me plaît. [...] »